Description

PROPRIETES ET BIENFAITS

KUDZULINE Bio : le complément alimentaire qui vous aide à réduire vos mauvaises habitudes

Découvrez le KUDZULINE Bio, un complexe synergique qui combine harmonieusement deux ingrédients naturels d’exception : le Kudzu et la Spiruline. Notre complément alimentaire est conçu pour vous aider à gérer au mieux vos mauvaises habitudes. Le Kudzu, une plante originaire d’Asie, offre des isoflavones aux propriétés apaisantes et calmantes, tandis que la Spiruline est une véritable mine de micronutriments essentiels. Ensemble, ils créent une synergie parfaite, vous offrant une solution naturelle pour diminuer les envies (tabac, alcool, sucre…) et retrouver un bien-être mental.

Le Kudzu : un trésor d’Asie

Originaire d’Asie et appartenant à la famille des Fabacées, le Kudzu est bien plus qu’une simple plante. Il renferme des composés précieux, notamment les isoflavones daidzéine, daidzine et puérarine. Ces isoflavones sont connues pour leur action calmante et apaisante, ce qui en fait un allié idéal pour ceux en quête de saines habitudes.

Les isoflavones présentes dans le Kudzu ne se limitent pas à apaiser l’esprit, elles sont également de puissants antioxydants. Cette propriété est essentielle pour réduire les dommages liés au stress oxydatif, un phénomène courant dans nos vies de tous les jours (tabac). Le Kudzu offre ainsi un soutien précieux pour maintenir l’équilibre de l’organisme.

La Spiruline : une algue aux richesses infinies

La Spiruline, quant à elle, est une algue reconnue pour sa richesse en micronutriments. Elle regorge de vitamines, minéraux, oligo-éléments, et pigments antioxydants. Cette concentration de nutriments en fait un atout précieux pour revitaliser les organismes en état de faiblesse.

Les vitamines et les minéraux présents dans la Spiruline sont essentiels pour maintenir la santé générale du corps. De plus, ses pigments antioxydants aident à lutter contre les radicaux libres, contribuant ainsi à prévenir le stress oxydatif.

Addiction et dépendance : quelle différence ?

Il est essentiel de comprendre la distinction entre l’addiction et la dépendance. L’addiction est souvent utilisée pour décrire un comportement compulsif et répété, qu’il s’agisse de la consommation de substances comme l’alcool ou de l’engagement dans des activités comme le jeu. L’addiction est souvent caractérisée par une perte de contrôle sur le comportement, des effets négatifs sur la vie quotidienne et des désirs impérieux de poursuivre l’activité ou la consommation de la substance.

En revanche, la dépendance est un terme qui se réfère généralement à un état de besoin physiologique ou psychologique pour une substance particulière. Dans le contexte médical, la dépendance est souvent associée à la tolérance, où une personne a besoin de doses de plus en plus importantes pour obtenir les mêmes effets, et au sevrage, où l’arrêt soudain de la substance entraîne des symptômes de sevrage.

Peut-on se débarrasser d’une mauvaise habitude naturellement ?

La question de savoir s’il est possible de se libérer d’une dépendance de manière naturelle est complexe. Les dépendances peuvent concerner diverses substances, comportements ou activités, allant de la dépendance aux substances psychoactives comme la nicotine à la dépendance comportementale, comme le jeu. Pour de nombreuses personnes, la recherche d’une approche naturelle pour surmonter une dépendance est une option attrayante. Cela peut inclure des méthodes telles que l’exercice, la méditation, la nutrition équilibrée et le soutien social. Ces approches peuvent certainement contribuer à la gestion des symptômes de sevrage et à la prévention des rechutes. Cependant, il est essentiel de noter que la gravité de la dépendance, la durée de son existence et les facteurs individuels jouent un rôle crucial.

Qu’est-ce que le système dopaminergique ?

Le système dopaminergique est une composante essentielle du cerveau qui joue un rôle crucial dans la régulation de la récompense, de la motivation et du plaisir. Il est étroitement lié à des comportements tels que le jeu d’argent et l’utilisation des réseaux sociaux. Lorsque nous participons à des activités gratifiantes, comme gagner de l’argent lors d’un jeu de hasard ou recevoir des likes et des commentaires sur les réseaux sociaux, le cerveau libère de la dopamine, un neurotransmetteur associé au plaisir et à la satisfaction. Ce renforcement positif peut entraîner une quête continue de ces expériences gratifiantes, parfois au détriment d’autres aspects de la vie.

Est-ce que les mauvaises habitudes peuvent déséquilibrer notre circuit de récompense ?

Les mauvaises habitudes ont le potentiel de déséquilibrer notre système dopaminergique. Les comportements et substances addictifs peuvent entraîner des altérations dans la régulation de la dopamine, le neurotransmetteur clé associé à la récompense et au plaisir. Lorsque nous nous engageons dans des “mauvais” comportements, tels que la consommation de drogues, les jeux vidéo, ou la dépendance aux réseaux sociaux, le cerveau peut réagir en libérant des quantités anormalement élevées de dopamine. Cela crée une sensation intense de satisfaction qui incite à poursuivre ces comportements. Cependant, avec le temps, cette stimulation excessive de la dopamine peut entraîner une désensibilisation des récepteurs dopaminergiques, ce qui signifie que le cerveau a besoin de davantage de stimuli pour obtenir le même niveau de plaisir. En conséquence, il peut devenir de plus en plus difficile de ressentir du plaisir en dehors de la dépendance.

Sucre, dépendance ou pulsion ?

Le sucre, est-il une simple pulsion gourmande ou une véritable dépendance ? Cette question suscite un débat animé parmi les chercheurs et les professionnels de santé. Lorsque l’on examine les preuves, il devient clair que le sucre peut déclencher des réponses biologiques et comportementales qui rappellent étonnamment les mécanismes des substances addictives. Des études animales* ont révélé que le sucre peut déclencher des réponses rappelant les mécanismes des substances addictives, avec des récompenses plus puissantes que la cocaïne. Les similitudes entre la dépendance au sucre et aux drogues sont frappantes, notamment sur le plan neurochimique. La consommation de sucre libère des opioïdes endogènes, suggérant une dépendance aux opioïdes. Ces similitudes sont également observées chez l’homme. Bien que la dépendance au sucre puisse varier, il est indéniable que le sucre a un pouvoir séducteur qui peut évoquer des comportements similaires à ceux des substances addictives. Pour ceux qui cherchent à réduire leur consommation de sucre, il est essentiel de chercher un équilibre dans son alimentation, tout en savourant de temps en temps des délices sucrés.

*DiNicolantonio JJ, O’Keefe JH, Wilson WLSugar addiction: is it real? A narrative reviewBritish Journal of Sports Medicine 2018;52:910-913.

L’importance des antioxydants dans l’équilibre de l’organisme

Les antioxydants jouent un rôle vital dans le maintien de l’équilibre de notre organisme. Ils agissent comme des gardiens contre les effets néfastes des radicaux libres, des molécules instables qui peuvent endommager les cellules et les tissus. L’accumulation de ces dommages, appelée stress oxydatif, est impliquée dans de nombreux inconforts. Les antioxydants, présents dans une variété d’aliments tels que les fruits, les légumes, et certaines herbes, neutralisent les radicaux libres et réduisent ainsi le stress oxydatif. Ils favorisent la santé cellulaire, renforcent le système immunitaire et contribuent à la prévention de divers problèmes de santé.

Comment KUDZULINE Bio vous aide à gérer vos habitudes ?

Le KUDZULINE Bio peut être un complément précieux à un mode de vie sain. Voici quelques façons dont il peut vous aider :

–    Propriété calmante : Les isoflavones du Kudzu peuvent vous aider à maintenir un état de calme et de sérénité, idéal pour gérer le stress de la vie quotidienne ;

–    Protection antioxydante : Les antioxydants présents dans le Kudzu et la Spiruline aident à prévenir les dommages causés par les radicaux libres, favorisant ainsi la santé générale ;

–    Apport nutritionnel : La Spiruline apporte une richesse nutritionnelle, complémentant ainsi votre alimentation quotidienne ;

–    Équilibre naturel : En utilisant KUDZULINE Bio dans le cadre d’un mode de vie sain, vous pouvez contribuer à maintenir un équilibre naturel dans votre organisme.

CONSEILS D’UTILISATION

Comment ?

2 gélules par jour (1 matin, 1 soir), voie orale.

Conditions de conservation

Conserver à l’abri de la chaleur dans un endroit sec.

Précautions d’emploi

Complément alimentaire. Ne peut remplacer une alimentation variée et équilibrée et un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Déconseillé aux femmes ayant des antécédents personnels ou familiaux de cancer du sein, chez la femme enceinte ou allaitante.

COMPOSITION ET ORIGINE

INGRÉDIENTS : poudre de spiruline* (Arthrospira platensis), poudre de racine de kudzu* (Pueraria lobata) ; gélule d’origine végétale : hydroxypropylméthylcellulose.

*Issu de l’Agriculture Biologique.

ETUDES SCIENTIFIQUES

La spiruline ¹

La spiruline, également connue sous le nom scientifique de Spirulina platensis, appartient à la famille des algues bleues. Elle se caractérise par une composition riche en éléments nutritifs, notamment des protéines, représentant environ 70 % de son poids sec, des caroténoïdes, des acides gras polyinsaturés oméga-3 et oméga-6, de l’acide gamma-linoléique (AGL), des sulfolipides, des glycolipides, des polysaccharides, des provitamines, des vitamines telles que la vitamine A, la vitamine E, et les vitamines du groupe B, ainsi que des minéraux tels que le magnésium, le fer, le calcium, le manganèse, le potassium, le sélénium et le zinc. Les recherches ont montré que la teneur en protéines la plus élevée se retrouve dans la variété Spirulina sp.1, tandis que les hydrates de carbone totaux sont prédominants dans Chlorella sp. Depuis les années 1970, la spiruline est couramment utilisée comme complément alimentaire dans l’aquaculture et l’alimentation animale, avec des effets positifs sur la santé des animaux d’élevage. Elle est également commercialisée sous forme de boisson, de comprimés ou de gélules depuis plus d’une décennie. La spiruline renferme un mélange puissant d’antioxydants, et la plupart de ses bienfaits pour la santé sont attribués à ses pigments antioxydants, notamment les caroténoïdes (un ensemble de carotènes et de xanthophylles), la chlorophylle, et le pigment bleu exceptionnel qu’est la phycocyanine.

Un effet antioxydant : ²

Les espèces réactives de l’oxygène (ERO) sont des acteurs néfastes qui endommagent les molécules à l’intérieur de nos systèmes biologiques, contribuant ainsi à l’apparition de diverses affections et maladies. Le stress oxydatif, en conséquence, revêt une importance capitale dans le contexte de nombreuses pathologies. La capacité antioxydante des composants de la spiruline a suscité un vif intérêt. Un corpus de recherches, qu’elles soient in vitro ou in vivo, indique de manière concluante que l’administration de spiruline entraîne une nette réduction du stress oxydatif. Ces effets bénéfiques en matière d’antioxydation et de protection sont attribués aux phycocyanines, au β-carotène, ainsi qu’à d’autres vitamines et minéraux contenus dans la spiruline. Plusieurs études in vitro ont identifié le potentiel antioxydant inhérent à la spiruline et à ses extraits. Par exemple, Qing et al. (2003) ont observé une augmentation des activités de deux enzymes antioxydantes présentes dans la Spirulina maxima, à savoir la superoxyde dismutase (SOD) et la catalase (CAT), dans des conditions de stress lumineux. Cependant, la SOD s’est révélée plus sensible au stress externe que la CAT. D’autres études ont révélé une relation plus complexe entre l’activité antioxydante de la spiruline et ces enzymes antioxydantes. Des chercheurs se sont penchés sur l’aptitude de la Spirulina platensis à inhiber la peroxydation lipidique, ainsi que sur ses effets sur les activités des enzymes antioxydantes telles que la SOD, la CAT, la glutathion peroxydase (GPx) et la glutathion réductase (GR) après avoir exposé des cellules de neuroblastome SH-SY5Y à un stress oxydatif induit par le fer. La spiruline platensis a maintenu l’activité des enzymes antioxydantes cellulaires (GPx totale, GPx-Se et GR) et a renforcé les niveaux de glutathion réduit au sein de ces cellules.

Kudzu ³

Pueraria lobata, communément appelée kudzu, est une ancienne plante médicinale chinoise utilisée divers maux tel que l’intoxication à l’alcool. Il s’agit d’une liane grimpante longue et complexe qui s’enroule et s’enroule. Elle est également connue sous d’autres noms tels que “vigne de la minute” et “vigne de la nuit” en raison de sa capacité à pousser de manière incontrôlée en très peu de temps. La racine de P. lobata n’est qu’une des parties de la plante utilisée pour les remèdes phytothérapeutiques. Il s’agit d’une liane légumineuse vivace qui a également été utilisée comme aliment au Japon et en Chine. La racine du kudzu a été décrite pour la première fois dans la littérature chinoise (Shengnong-Bencao Jing, 1278AD) comme ayant un goût doux et âcre, de nature fraîche, et utile comme agent antipyrétique, antidiarrhéique, diaphorétique et antiémétique. Le kudzu figurait également dans le livre médical le plus complet de l’époque, le Bencao Gangmu (Compendium of Materia Medica), compilé par Li Shi-zhen, dans lequel il était dit qu’il réduisait l’intoxication du foie induite par l’alcool. Toutefois, ces allégations d’efficacité sont difficiles à évaluer, car les preuves sont anecdotiques et il y a eu de nombreuses préparations différentes au cours des siècles.

Effet antioxydant

Des chercheurs ont comparé l’activité antioxydante des racines de Pueraria lobata et de Pueraria mirifica à l’aide de la méthode 1,1-diphényl-2-picryl-hydrazyl (DPPH). La puérarine, la principale substance contenue dans les racines, a montré une capacité antioxydante similaire à celle de l’α-tocoferol. De même, la puérarine a montré une capacité antioxydante aux concentrations de 0-2000 μM dans le test de capacité antioxydante équivalente au trolox (TEAC).

La puérarine extraite de Pueraria a été suggérée pour exercer des propriétés antioxydantes et elle a des effets protecteurs contre les dommages cellulaires causés par la peroxydation des lipides ; elle protège la structure de la membrane cellulaire en éliminant les radicaux oxydants des tissus et des cellules. ⁴

Effet sur la consommation d’alcool

Plusieurs études scientifiques ont soulevé l’hypothèse que la racine de kudzu pourrait être un élément prometteur dans la gestion des troubles liés à la consommation d’alcool ou de dépendance à l’alcool.

Une étude s’est penchée sur l’influence du kudzu sur un échantillon de 17 hommes, âgés de 21 à 33 ans, qui avaient pour habitude de consommer entre 22 et 35 verres d’alcool par semaine. Au cours de cette expérience, les chercheurs ont administré quotidiennement, pendant une période de 4 semaines, soit un extrait de kudzu, soit un placebo à ces participants. Les individus ont été invités à rapporter leurs désirs et leurs habitudes de consommation d’alcool tout au long de l’étude. Les résultats ont révélé que l’extrait de kudzu n’avait pas d’incidence significative sur les désirs d’alcool, mais qu’il engendrait une réduction notable, jusqu’à 57 %, de la consommation hebdomadaire de boissons alcoolisées. De plus, les sujets ayant reçu le kudzu ont rapporté une diminution du nombre de jours de forte consommation d’alcool par semaine et une augmentation significative du nombre de jours consécutifs sans consommation d’alcool. ⁵

Une autre étude a examiné les effets de la puérarine, un extrait d’isoflavones issus de la racine de kudzu, lorsque pris avant la consommation d’alcool. Les résultats ont montré que cela retardait la consommation d’alcool. ⁶

Sources:

1- Hoseini, F., Hoseini,, S., Fazilati, M., Ebrahimie, E., Hoseini, F., & Choopani, A. (2021). Evaluation of C-phycocyanin Effects with Drug Purity on the Immune System through Its Effect on Interferon-gamma (INF-γ). International Journal of Medical Reviews, 8(4), 188-193.

2- Wu, Qinghua; Liu, Lian; Miron, Anca; Klímová, Blanka; Wan, Dan; Kuča, Kamil (2016). The antioxidant, immunomodulatory, and anti-inflammatory activities of Spirulina: an overview. Archives of Toxicology, 90(8), 1817–1840

3- Rong, H., Stevens, J. F., Deinzer, M. L., De Cooman, L., & De Keukeleire, D. (1998). Identification of isoflavones in the roots of Pueraria lobata. Planta Medica, 64(07), 620-627.

4- Bacanlı, M., Aydın, S., Başaran, A. A., & Başaran, N. (2018). A Phytoestrogen Puerarin and its Health Effects. In Polyphenols: Prevention and Treatment of Human Disease (pp. 425-431). Academic Press.

5- Lukas SE, Penetar D, Su Z, Geaghan T, Maywalt M, Tracy M, Rodolico J, Palmer C, Ma Z, Lee DY. A standardized kudzu extract (NPI-031) reduces alcohol consumption in nontreatment-seeking male heavy drinkers. Psychopharmacology (Berl). 2013 Mar;226(1):65-73

6- Penetar DM, Toto LH, Farmer SL, Lee DY, Ma Z, Liu Y, Lukas SE. The isoflavone puerarin reduces alcohol intake in heavy drinkers: a pilot study. Drug Alcohol Depend. 2012 Nov 1;126(1-2):251-6. doi: 10.1016/j.drugalcdep.2012.04.012. Epub 2012 May 10.