Description
PROPRIETES ET BIENFAITS
Régulez votre glycémie naturellement avec Diamistab :
Diamistab a été spécialement formulé pour offrir un soutien nutritionnel de qualité aux personnes qui cherchent à maintenir une glycémie normale. Ce complément alimentaire est fabriqué avec des ingrédients de haute qualité: chrome, cannelle et huile de son de riz qui agissent en synergie pour aider votre corps à maintenir un niveau normal de sucre dans le sang.
Découvrez les avantages de Diamistab pour une glycémie équilibrée :
Le chrome, un oligo-élément puissant :
Le chrome est un oligo-élément essentiel à notre santé. Il joue un rôle important dans la régulation de la glycémie et du métabolisme des macronutriments. En effet, lorsque l’organisme ne dispose pas suffisamment de chrome, cela peut entraîner des troubles du métabolisme du glucose, notamment une diminution de la sensibilité à l’insuline. Le chrome est donc très important pour les personnes atteintes de diabète de type 2, car il peut améliorer la sensibilité à l’insuline et contribuer à un métabolisme glucidique normal. 3 capsules de Diamistab vous apporteront une quantité de 25 µg de chrome, ce qui représente 62,5% des valeurs nutritionnelles de référence pour cet oligo-élément. Il convient toutefois de noter que le reste de l’apport en chrome sera obtenu grâce à votre alimentation.
La cannelle pour aider à réduire le taux de glycémie
La cannelle est une épice couramment utilisée dans la cuisine depuis des siècles. Il existe plusieurs types de cannelle, mais seulement quatre sont utilisés pour en faire l’épice. Les deux types les plus courants sont la cannelle de Ceylan et la cannelle de Cassia chinoise. Des études scientifiques ont montré que la cannelle peut aider à réduire le taux de sucre dans le sang, à améliorer la sensibilité à l’insuline et agir comme un antioxydant.
L’huile de son de riz et son pouvoir antioxydant :
Le riz est un aliment de base depuis des siècles et contient des nutriments importants comme les glucides, les protéines et les fibres. En plus de cela, le riz contient des composés bénéfiques pour notre santé, l’un de ces composés est le γ-oryzanol, il se trouve en grande quantité dans le son de riz. Le γ-oryzanol a été étudié pour ses effets bénéfiques sur la santé, tels que la réduction des taux de sucre et de graisses dans le sang.
L’âge est-il une cause d’une glycémie élevée ?
Il a été remarqué que la tolérance au glucose diminue et l’insulinorésistance augmente avec l’âge. Néanmoins cela n’est pas simplement dû au vieillissement, d’autres facteurs environnementaux associés à un mauvais mode de vie (alimentation, tabac et alcool) sont également impliqués. Plusieurs éléments ont été identifiés, notamment la prise de poids, la diminution de la masse musculaire, les mauvaises habitudes alimentaires et le manque d’activité physique, tous contribuent à une réduction de la sensibilité à l’insuline.
Comprendre le dysfonctionnement glycémique :
Le pancréas produit de l’insuline, une hormone qui régule le taux de sucre dans le sang. Elle permet au glucose de pénétrer dans le muscle où il est utilisé pour produire de l’énergie. Cependant, en cas de déficit de production d’insuline, le glucose ne peut pas pénétrer dans le muscle et s’accumule dans le sang, entraînant une hyperglycémie et des lésions d’organes tels que le cœur, le cerveau, les reins ou les yeux.
CONSEILS D’UTILISATION
Combien ?
2 à 3 capsules/jour, voie orale (1 matin à jeun, 1 midi et 1 soir, avant le repas).
Conditions de conservation
Conserver à l’abri de la chaleur dans un endroit sec.
Précautions d’emploi
Complément alimentaire. Ne peut remplacer une alimentation variée et équilibrée et un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants Ne pas dépasser la dose journalière maximale recommandée. Déconseillé aux femmes sans avis médical.
COMPOSITION ET ORIGINE
INGRÉDIENTS : Huile de son de riz (Oryza sativa) non UE ; extrait d’écorce de cannelle (Cinnamomum cassia) non UE ; gélatine ; glycérine ; épaississant : cire jaune d’abeille ; colorant : caramel ordinaire ; émulsifiant : lécithine de tournesol ; chlorure de chrome.
INGRÉDIENTS | 3 CAPSULES | EPS* | VNR** |
Huile de Son de Riz | 975 mg | – | – |
Extrait de Cannelle | 600 mg | 6 g | – |
Chrome | 25 µg | – | 62,5% |
* EPS = Equivalent Plante Sèche / **VNR = Valeurs Nutritionnelles de Référence
ETUDES SCIENTIFIQUES
La proportion de personnes atteintes d’une glycémie élevée augmente avec l’âge. Selon les données disponibles, on estime qu’un homme sur cinq âgé de 70 à 85 ans présente cette maladie et qu’une femme sur sept âgée de 75 à 85 ans est traitée.
En France, Il convient de souligner que la fréquence du diabète est particulièrement élevée chez les seniors, avec un pic de prévalence entre 70 et 85 ans chez les hommes et entre 75 et 85 ans chez les femmes. Par ailleurs, il a été observé que la prévalence du diabète traité est nettement plus importante dans les départements d’Outre-mer, où elle atteint près de deux fois la moyenne nationale 1.
Qu’est-ce qu’un trouble de la glycémie ?
C’est un dysfonctionnement chronique considéré comme grave, qui se manifeste généralement lorsque le pancréas ne produit pas suffisamment d’insuline ou lorsque l’organisme ne parvient pas à utiliser efficacement l’insuline produite par notre corps. À noter que l’insuline est une hormone importante qui intervient dans la régulation de notre glycémie, elle correspond à la quantité de sucre dans le sang. L’hyperglycémie ou une glycémie élevée, est un effet fréquent du diabète mal contrôlé. Au fil du temps, cela peut causer certains dommages et aggraver d’autres pathologies telles que les maladies cardiovasculaires ou encore l’hypercholestérolémie.
Quel est le taux de glycémie idéal ?
Le taux de glycémie est mesuré grâce à la teneur en sucre (glucose) présente dans notre sang. Une glycémie est dite normale quand sa mesure à jeun est comprise entre 0.70 et 1.10 g/L. On parle de glycémie élevée lorsque cette mesure dépasse les 1.10g/L à jeun.
Les différents types de diabète 2 :
Prédiabète :
Le prédiabète est un état précurseur du diabète dans lequel une personne présente des taux de glycémie élevés mais ne répond pas aux critères de diagnostic du diabète. Les personnes atteintes de prédiabète peuvent présenter une anomalie de la glycémie à jeun ou une intolérance au glucose, ou les deux.
Diabète de type 1 :
Il résulte de la destruction auto-immune des cellules bêta du pancréas et se caractérise par une absence totale de production d’insuline. Il représente 5 à 10 % de tous les cas de diabète. Ses facteurs de risque comprennent des facteurs auto-immunitaires, génétiques et environnementaux.
Diabète de type 2 :
Il se développe lorsqu’il y a une résistance anormalement accrue à l’action de l’insuline et que l’organisme ne peut pas produire suffisamment d’insuline pour surmonter cette résistance. Il représente 90 à 95 % de tous les cas de diabète diagnostiqués. Cette forme de diabète commence généralement par une résistance à l’insuline et, comme l’organisme est incapable de produire suffisamment d’insuline pour remédier à cette résistance, le pancréas peut réduire la production d’insuline ou finir par ne plus en produire.
Diabète gestationnel :
Une forme d’intolérance au glucose qui affecte certaines femmes pendant la grossesse.
Les causes d’une glycémie élevée 3 :
L’insuline est produite par les cellules pancréatiques et est essentielle à l’absorption et à l’utilisation du glucose. Le dysfonctionnement de ces cellules entraîne une carence en insuline et en amyline (protéine produite par le pancréas qui induit la sensation de satiété), ce qui provoque une prise de poids chez les personnes diabétiques. Le facteur nucléaire hépatocytaire 4 (HNF4A) est responsable de la génétranscription des cellules pancréatiques et joue un rôle important dans le diabète. Le diabète sucré est un syndrome métabolique courant caractérisé par une hyperglycémie.
La résistance à l’insuline, qui est sa principale caractéristique, perturbe le métabolisme des lipides et augmente la concentration d’acides gras, ce qui entraîne une obésité, des maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2. Dans ce dernier, le glucose plasmatique perd sa capacité à stimuler l’insuline et supprime la sécrétion de …., ce qui entraîne une augmentation de la production de glucose hépatique et une diminution de l’utilisation du glucose dans la périphérie. La capacité du pancréas à rétablir les niveaux de glucose plasmatique est déterminée par l’efficacité de la sécrétion d’insuline. Ainsi, dans le diabète de type 2, il faut un stimulus d’hyperglycémie plus élevé au pancréas pour maintenir les mêmes niveaux d’insuline.
Quels sont les facteurs favorisant une glycémie anormale ?
Bien que la pathogenèse du diabète soit complexe, un certain nombre de facteurs augmentant le risque de la maladie ont été identifiés. Parmi les facteurs de risque du diabète de type 2, certains sont modifiables, d’autres non.
Les facteurs de risque dits non modifiables du diabète de type 2 comprennent l’âge, les antécédents familiaux (prédisposition génétique), les antécédents de diabète gestationnel et le faible poids à la naissance.
Quant aux facteurs de risque, modifiables ou liés au mode de vie, ils comprennent, entre autres :
– L’augmentation de l’indice de masse corporelle (IMC) 4 ;
– L’inactivité physique ;
– Une mauvaise alimentation ;
– L’hypertension ;
– Le tabagisme et la consommation d’alcool. 5,6
Il est régulièrement démontré que l’augmentation de l’IMC est l’un des facteurs de risque les plus importants dans le développement d’une glycémie élevée. 7
Les complications liées à une hyperglycémie 8 :
Une glycémie élevée peut affecter de nombreux organes de notre organisme et, à terme, entraîner de graves complications. Les complications du diabète peuvent être classées comme microvasculaires et macrovasculaires. Les complications microvasculaires comprennent :
– Des atteintes du système nerveux (neuropathie) ;
– Des atteintes du système rénal (néphropathie) ;
– Une atteinte au niveau des yeux (rétinopathie).
Les complications macrovasculaires, quant à eux comprennent :
– Les maladies cardiovasculaires ;
– Les accidents vasculaires cérébraux ;
– Les maladies vasculaires périphériques, qui peuvent entraîner des contusions ou une gangrène et aboutir à l’amputation.
Vieillissement et trouble de la glycémie 9 :
Les personnes âgées sont plus intolérantes au glucose et davantage insulinorésistantes que les plus jeunes. Le fait de savoir si cette diminution fonctionnelle est la conséquence inéluctable du vieillissement biologique ou si elle est secondaire à des modifications liées à l’environnement et au style de vie, a toujours fait l’objet de recherches. En effet, plusieurs facteurs interdépendants ont été recensés, tels que :
– Une augmentation de l’adiposité (accumulation de graisses dans les tissus cellulaires) et\ou une anomalie de la distribution de la masse lipidique ;
– Une diminution de la masse musculaire et\ou une altération de la composition du muscle squelettique ;
– De mauvaises habitudes alimentaires et un manque d’activité physique.
Tous sont des facteurs qui contribuent à réduire la sensibilité à l’insuline. L’insulinorésistance des personnes âgées semble prédominer dans le muscle squelettique, bien que le débit de glucose hépatique ne soit pas affecté. II existe, en effet, une étroite interrelation entre la diminution de l’insulinosécrétion et l’augmentation de I’insulinorésistance et cet effet synergique explique l’essentiel des anomalies du métabolisme du glucose observées chez les personnes vieillissantes. Il a été démontré, que la perte de poids, en particulier la réduction de l’adiposité abdominale, et l’activité physique peuvent contribuer à améliorer la sensibilité à l’insuline et la tolérance au glucose et donc à prévenir la survenue d’un trouble glycémique chez les sujets âgés.
Stress oxydatif et glycémie :
Par rapport à d’autres tissus, les cellules β des îlots de Langerhans ont moins d’enzymes de défense antioxydantes, ce qui les rend particulièrement vulnérables à la surproduction d’espèces réactives à l’oxygène (ERO). L’excès de ERO entraîne des attaques sur les lipides, les protéines et l’ADN, conduisant au dysfonctionnement et à la mort des cellules β des îlots de Langerhans. L’excès de ERO entraîne également une insulinorésistance et une baisse de la sécrétion d’insuline. 10,11
En plus du dysfonctionnement des cellules β et de l’insulinorésistance, le stress oxydatif induit par l’hyperglycémie est également lié aux complications tardives du diabète de type 2. 12,13
L’huile de son de riz et sa propriété antioxydante :
Le riz est une source naturelle d’antioxydants 14. Il constitue l’un des principaux aliments de base du monde entier depuis des siècles 15. Plusieurs milliers de variétés de riz ont été reconnues, mais il n’existe que deux espèces, Oryza glaberrima et Oryza sativa, consommées dans le monde entier. Hormis les macronutriments, dont les glucides, les protéines et les fibres, le riz contient divers composés bioactifs qui sont précieux pour notre santé 14. Parmi les différents composés phytochimiques du riz (O. sativa L.), le γ-oryzanol est celui qui est présent en plus grande quantité, en particulier dans le son de riz 16. Le nom du γ-oryzanol provient du riz (oryza-) car il a été découvert pour la première fois dans l’huile de son de riz par Kaneko et Tsuchiya en 1954. Le γ-Oryzanol a été intensivement étudié pour ses effets bénéfiques sur notre santé tels que ses propriétés anti hyperlipidémiques et antihyperglycémiques.
γ-Oryzanol et hyperglycémie :
Selon une hypothèse actuelle, le stress oxydatif est une pathologie commune au dysfonctionnement des cellules β, à la résistance à l’insuline, à l’altération de la tolérance au glucose et, finalement, au diabète de type 2 (DT2). Par ailleurs, ce mécanisme a été impliqué comme une cause intrinsèque des complications macrovasculaires et microvasculaires associées au DT2 17. Par conséquent, son traitement précoce est certainement essentiel pour prévenir ou limiter les complications cardiovasculaires graves chez les patients atteints de DT2 et les personnes susceptibles de développer un diabète. De nombreuses preuves ont indiqué que les propriétés antiglycémiques du γ-oryzanol sont étroitement liées à son activité antioxydante. Par exemple, en utilisant l’hyperglycémie induite par la streptozotocine (STZ) chez les rats, l’administration orale de γ-oryzanol dérivé du son de riz (50 ou 100mg/kg) pendant 1 jour (dose unique) ou 11 jours (doses multiples) a diminué de manière significative les niveaux de glucose dans le sang et le stress oxydatif avec une amélioration de l’activité enzymatique antioxydante (la SOD) 18. De plus, un traitement à long terme de 8 semaines avec le γ-oryzanol a amélioré non seulement le statut glycémique, mais aussi la fonction rénale dans un modèle de rat de néphropathie diabétique. Il est intéressant de noter que ces effets exercés par le γ-oryzanol étaient également accompagnés d’une diminution de la peroxydation lipidique et d’une augmentation des activités des enzymes antioxydantes (la SOD et la CAT) 19.
La cannelle et son effet sur la glycémie :
La cannelle est utilisée comme épice dans de nombreux pays depuis des siècles. Il existe des centaines d’espèces dans le genre Cinnamomum, mais seules quatre espèces sont utilisées pour obtenir l’épice cannelle 20. Les variétés de cannelle les plus utilisées sont la cannelle de Ceylan ou “vraie” cannelle (Cinnamomum zeylanicum) et la cannelle de Cassia chinoise (Cinnamomum aromaticum). Il existe une multitude d’études animales in vitro et in vivo soutenant l’efficacité de la poudre de cannelle, de la fraction d’extrait aqueux, du cinnamaldéhyde et d’autres ingrédients actifs de la cannelle utilisés pour gérer l’hyperglycémie chez les animaux 21.
Les données des essais cliniques sur l’effet de la cannelle chez les patients atteints de DT2 sont relativement limitées. L’étude menée au Pakistan 22 est le premier essai clinique connu réalisé sur la cannelle, tandis que les études relatives au composant bioactif, en cours à cette époque, indiquaient que le polymère polyphénolique hydrosoluble présent dans la cannelle pouvait être le composant bioactif responsable de la potentialisation de l’insulino-action et pouvait également fonctionner comme un antioxydant 23. Plusieurs autres essais cliniques ont également indiqué des résultats similaires 21.
Quel oligo-élément pour le diabète ?
Le chrome (Cr) est présent dans l’environnement principalement sous deux états d’oxydation courants : Cr(III) et Cr(VI) 24. C’est un micronutriment bénéfique qui a montré une activité antidiabétique significative 25-27. Le niveau et la sensibilité de l’insuline diminuent lorsque l’organisme ne dispose pas suffisamment de chrome, ce qui entraîne des troubles du métabolisme du glucose et des lipides. Des études ont montré que le chrome peut réguler le métabolisme des lipides et améliorer la sensibilité à l’insuline 28-30.
Dans une revue systématique et une méta analyse, regroupant la plupart des essais cliniques publiés entre 1968 et 2019, il a été constaté que dans une période d’intervention de 4 à 25 semaines une supplémentation en chrome diminue de manière significative les taux de FPG (glycémie plasmatique à jeun) et d’insuline, ainsi que les taux de HbA1C et de HOMA-IR (index de mesure de l’insuline) chez les patients diabétiques. Dans l’analyse de sous-groupe, l’intervention à long terme (≥12 semaines) a contribué à une plus grande réduction des niveaux de FPG, d’insuline, de HbA1C et de HOMA-IR. De plus, toutes les modifications des indices de contrôle glycémique mentionnées n’étaient pas dépendantes de la dose et une diminution significative a été observée dans les deux sous-groupes à des doses ≤200(μg) et les doses >200 (μg) 31. En 2006, une analyse de 15 études cliniques sur la supplémentation en chrome dans le cadre de diabète sucré a révélé une réduction considérable des indices d’hyperglycémie et d’hyperinsulinémie 32. De plus, Il a été démontré que le chrome améliore l’activité kinase du récepteur β de l’insuline, augmente l’activité des acteurs en aval de la signalisation de l’insuline, la PI3-kinase et la protéine kinase B (Akt), et améliore la translocation du transporteur de glucose-4 (Glut4) vers la surface cellulaire 33,34.
Sources :
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