Description
PROPRIETES ET BIENFAITS
Dermoline Collagen a été conçu pour répondre efficacement aux besoins de votre peau en matière de souplesse et d’élasticité. Sa formulation unique intègre du collagène marin de type I et III et de la vitamine C. Cette dernière permet de stimuler la synthèse du collagène, améliorant ainsi la structure cutanée. L’acide hyaluronique, également présent, agit en profondeur en procurant une hydratation intense et en contribuant à maintenir une fermeté optimale de la peau. Cette combinaison d’ingrédients de haute qualité assure une solution complète pour obtenir une peau éclatante et tonic.
Le Collagène Naticol® : Pour une peau souple et élastique
Le collagène est une protéine importante qui joue un rôle essentiel dans la peau en contribuant à sa structure, son élasticité et sa fermeté. Il s’agit d’une protéine fibreuse présente en abondance dans le derme, la couche profonde de la peau. Le collagène agit comme une sorte de “maillage” qui soutient les cellules cutanées, leur donne de la résistance et assure la cohésion des tissus. Il est responsable de la résistance mécanique de la peau et de sa capacité à résister aux étirements et aux déformations. De plus, le collagène aide à retenir l’humidité dans la peau, ce qui contribue à son hydratation et à son aspect rebondi.
Dermoline Collagen est formulé à base de peptide de collagène Naticol® de type I et III issu de poissons. Grâce à un processus biotechnologique d’hydrolyse, ce collagène offre une biodisponibilité optimale grâce à sa fragmentation en peptides de bas poids moléculaire.
Quels sont les différents types de Collagène ?
Il existe différents types de collagène, chacun ayant des rôles spécifiques dans les tissus et les organes, y compris la peau. Voici un aperçu des principaux types de collagène :
– Collagène de type I : C’est le type de collagène le plus abondant dans le corps humain, représentant environ 90 % du collagène total. Il est présent dans la peau, les tendons, les os, les ligaments et d’autres tissus conjonctifs. Le collagène de type I confère à la peau sa résistance, sa fermeté et sa capacité à résister aux étirements ;
– Collagène de type II : Principalement présent dans le cartilage, il joue un rôle essentiel dans la structure et la fonction des articulations. Il confère au cartilage sa résistance et son élasticité, aidant à amortir les chocs et à préserver la mobilité articulaire ;
– Collagène de type III : Il est souvent associé au collagène de type I, et les deux types de collagène sont souvent présents ensembles dans les tissus. Il est impliqué dans la structure des organes internes, des vaisseaux sanguins, des muscles et de la peau. Le collagène de type III est également présent dans les fibres élastiques, apportant une certaine souplesse aux tissus ;
– Collagène de type IV : C’est un composant clé de la membrane basale, une structure qui soutient les cellules épithéliales et endothéliales. Il joue un rôle important dans la filtration et la perméabilité des substances à travers les membranes cellulaires ;
– Collagène de type V : Il est présent dans plusieurs tissus, y compris la peau, les tendons et les ligaments. Il est souvent associé au collagène de type I dans la formation de fibres de collagène.
Ces différents types de collagène travaillent en synergie pour maintenir l’intégrité et la fonction des tissus corporels. Dermoline Collagen contient du collagène marin de type I et III, qui sont des types spécifiques connus pour leurs bienfaits pour la peau.
Quels sont les bienfaits d’une cure de collagène ?
Une cure de collagène peut offrir plusieurs bienfaits pour la peau, contribuant ainsi à son éclat et à sa santé globale. Parmi les effets on peut notamment remarquer :
– Une amélioration de l’élasticité : Le collagène est essentiel pour maintenir l’élasticité de la peau. En consommant régulièrement du collagène, sous forme de compléments alimentaires, il est possible de favoriser la production de nouvelles fibres de collagène dans la peau. Cela peut aider à améliorer son élasticité, à réduire l’apparence des rides et des ridules, et à donner à la peau une apparence plus ferme et plus tonique ;
– Une hydratation et une souplesse accrues : Le collagène contribue à maintenir l’hydratation de la peau en renforçant la barrière cutanée et en retenant l’humidité. Une cure de collagène peut donc aider à prévenir la déshydratation de la peau, en lui procurant une hydratation optimale et en réduisant la sécheresse cutanée. Une peau bien hydratée est plus souple, plus lisse et moins sujette aux irritations ;
– Une réduction des signes visibles du vieillissement : L’un des bienfaits les plus recherchés d’une cure de collagène est sa capacité à réduire les signes visibles du vieillissement sur la peau. En renforçant les tissus conjonctifs et en stimulant la production de collagène, une cure de collagène peut contribuer à atténuer l’apparence des rides, des ridules et des taches de vieillesse. Elle peut également aider à améliorer la texture globale de la peau, en lui donnant un aspect plus lisse et plus uniforme ;
– Accélération du processus de cicatrisation : Le collagène joue un rôle crucial dans la cicatrisation des plaies et des lésions cutanées. En favorisant la production de collagène, une cure de collagène peut aider à accélérer le processus de cicatrisation et à réduire la formation de cicatrices.
La Vitamine C : un allié pour la synthèse du collagène
La Vitamine C, extraite de l’Acérola, joue un rôle essentiel dans la synthèse normale du collagène. En prenant Dermoline Collagen, vous bénéficiez de la présence de Vitamine C, qui contribue à maintenir une peau saine en favorisant la production de collagène.
L’Acide Hyaluronique : une molécule anti-âge pour une peau hydratée et ferme
L’acide hyaluronique est une molécule populaire pour ses propriétés hydratantes et raffermissantes. Dans Dermoline Collagen, l’AH est présent avec un poids moléculaire moyen à assimilation progressive, situé entre 800 et 1600 kDaltons. Cela permet une absorption en profondeur de l’AH, contribuant ainsi à une hydratation optimale et à la fermeté de la peau.
L’effet anti-âge de Dermoline Collagen
Grâce à sa combinaison unique de collagène marin, de vitamine C et d’acide hyaluronique, Dermoline Collagen devient votre atout majeur pour améliorer l’aspect de votre peau. En renforçant la production de collagène dans la peau, Dermoline Collagen aide à restaurer l’élasticité et la fermeté, tout en réduisant l’apparence des rides et des ridules. La vitamine C, quant à elle, contribue à la synthèse normale du collagène, améliorant ainsi les propriétés structurales de la peau. Sans oublier l’acide hyaluronique qui joue un rôle clé dans l’hydratation et la fermeté cutanée, aidant à maintenir une peau lisse, souple et éclatante. En combinant ces ingrédients puissants et de qualités, Dermoline Collagen offre un effet anti-âge qui aide à préserver la vitalité et l’apparence de votre peau.
Les changements naturels de la peau avec l’âge
Le vieillissement naturel de la peau est un processus inévitable qui survient au fil du temps. À mesure que nous avançons en âge, la peau subit divers changements qui peuvent altérer son apparence et sa texture. Certains aspects majeurs du vieillissement naturel de la peau sont identifiés comme :
– Une diminution de la production de collagène : Il est produit en moindre quantité à mesure que nous vieillissons. Cela peut entraîner une perte de volume, l’apparition de rides et de ridules, ainsi qu’un relâchement cutané ;
– Une réduction de l’élasticité : La peau perd progressivement son élasticité naturelle à mesure que les fibres de collagène et d’élastine se dégradent. Cela peut se traduire par une peau qui semble moins ferme et moins tonique, et qui est plus sujette au relâchement et au relâchement cutané ;
– Une diminution de la production de sébum : La production de sébum, l’huile naturellement produite par la peau, diminue avec l’âge. Cela peut entraîner une peau plus sèche et moins hydratée, ce qui peut accentuer l’apparence des rides et des ridules ;
– Un amincissement de la peau : La peau peut s’amincir au fil du temps en raison de la diminution de la production de collagène et d’autres changements liés à l’âge. Cela peut rendre les vaisseaux sanguins plus visibles, donner à la peau un aspect plus translucide et augmenter la vulnérabilité aux ecchymoses et aux blessures ;
– Une Apparition de taches pigmentaires : telles que les taches de vieillesse ou les taches solaires, peuvent apparaître sur la peau avec l’âge. Ces tâches sont le résultat d’une production accrue de mélanine, le pigment responsable de la couleur de la peau, en réponse aux dommages causés par le soleil et d’autres facteurs environnementaux.
Comment maintenir une peau ferme et lumineuse au fil du temps ?
En comprenant les mécanismes du vieillissement cutané, il devient possible de prendre des mesures pour ralentir ces processus et maintenir une peau saine et éclatante.
Une des clés pour lutter contre les signes du vieillissement est de préserver et de stimuler la production de collagène. Dermoline Collagen offre une solution efficace en apportant du collagène marin Naticol® de type I et III. Avec une biodisponibilité optimale, notamment grâce à son bas poids moléculaire, stimulant ainsi la synthèse de collagène. Associé à la Vitamine C, qui favorise également la production de collagène, Dermoline Collagen agit en synergie pour soutenir la régénération de la peau et réduire l’apparence des rides et ridules. De plus, l’Acide Hyaluronique présent dans notre produit contribue à l’hydratation cutanée, améliorant ainsi la fermeté et l’éclat de la peau. En intégrant Dermoline Collagen à votre routine, vous pouvez nourrir votre peau et retarder les signes visibles du vieillissement.
Qu’est-ce qui accélère le vieillissement de la peau ?
Le processus de vieillissement de la peau est influencé par plusieurs causes qui peuvent accélérer ce processus naturel :
– Exposition aux rayons UV : L’exposition excessive aux rayons ultraviolets du soleil est l’un des principaux accélérateurs du vieillissement cutané. Les rayons UV endommagent les fibres de collagène et d’élastine de la peau, entraînant une perte d’élasticité, l’apparition de rides et de ridules, ainsi qu’une texture de peau irrégulière ;
– Tabagisme : C’est un autre facteur majeur qui accélère le vieillissement de la peau. Les produits chimiques présents dans la fumée de cigarette provoquent une vasoconstriction, réduisant ainsi la circulation sanguine vers la peau et privant les cellules cutanées d’oxygène et de nutriments essentiels. Cela conduit à une diminution de la production de collagène et d’élastine, ce qui entraîne une peau terne, une perte d’élasticité et l’apparition de rides prématurées, en particulier autour des lèvres et des yeux. De plus, le tabagisme augmente également le stress oxydatif dans la peau, accélérant ainsi le processus de vieillissement ;
– Stress chronique : lorsque nous sommes stressés, notre corps produit des hormones du stress telles que le cortisol, qui peut avoir des effets néfastes sur la peau. Le cortisol peut endommager les fibres de collagène et d’élastine, entraînant une perte d’élasticité et la formation de rides et de ridules. De plus, le stress peut perturber le processus de régénération cellulaire de la peau, entraînant un teint terne et une apparence fatiguée ;
– Mauvaise alimentation : Une alimentation riche en sucres raffinés, en acides gras saturés et en aliments transformés peut provoquer une inflammation dans le corps, ce qui peut se refléter sur la peau. Ce qui peut endommager les cellules cutanées et réduire la production de collagène, entraînant une peau terne, une perte d’élasticité et l’apparition de rides prématurées.
Les clés pour une peau radieuse et tonique
Grâce à quelques habitudes à intégrer dans votre routine quotidienne, vous pouvez préserver la vitalité et l’élasticité de votre peau, pour un teint éclatant et une apparence plus ferme :
– Hydratation : Assurez-vous de boire suffisamment d’eau tout au long de la journée pour maintenir une hydratation optimale de la peau ;
– Nettoyage régulier : Nettoyez votre visage matin et soir pour éliminer les impuretés et les cellules mortes, permettant ainsi à votre peau de respirer ;
– Protection solaire : Utilisez un écran solaire avec un facteur de protection approprié pour protéger votre peau des rayons UV ;
– Alimentation équilibrée : Adoptez une alimentation riche en fruits, légumes, et aliments riches en antioxydants pour favoriser la santé de votre peau ;
– Sommeil réparateur : Accordez une attention particulière à votre sommeil, car le manque de repos peut avoir un impact négatif sur l’apparence de votre peau ;
-Soins et complémentation adaptées : Utilisez des produits de soins adaptés à votre type de peau et à vos besoins spécifiques. Dermoline Collagen, par exemple, peut contribuer à maintenir une peau éclatante et ferme grâce à ses propriétés bénéfiques pour la synthèse du collagène et l’hydratation cutanée.
CONSEILS D’UTILISATION
Combien ?
2 gélules par jour, voie orale.
Conditions de conservation
Conserver à l’abri de la chaleur dans un endroit sec.
Précautions d’emploi
Complément alimentaire. Ne peut remplacer une alimentation variée et équilibrée et un mode de vie sain. Tenir hors de portée des jeunes enfants. Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Déconseillé aux femmes enceintes sans avis médical.
COMPOSITION ET ORIGINE
INGRÉDIENTS : Hydrolysat de collagène marin Naticol® (poissons) ; gélule d’origine végétale : hydroxypropylméthylcellulose ; acide hyaluronique
(hyaluronate de sodium d’origine végétale) ; extrait de baie d’acérola (Malpighia punicifolia L.) standardisé en vitamine C ; anti-agglomérant : sels de magnésium d’acides gras.
INGRÉDIENTS | 2 GÉLULES | VNR* |
Collagène marin | 600 mg | – |
Acide Hyaluronique | 100 mg | – |
Vitamine C issue d’Acérola | 12 mg | 15% |
*VNR = Valeurs Nutritionnelles de Référence
ETUDES SCIENTIFIQUES
La peau est le plus grand élément de l’organisme et constitue le principal moyen de défense contre l’environnement. La peau est un élément fondamental du système immunitaire inné et agit comme une barrière physique. La peau joue de nombreux autres rôles importants, comme notamment :
– Le contrôle de la perte d’eau du corps ;
– La prévention des infections ;
– La thermorégulation ;1
– Le sens du toucher ;
– La production de vitamine D.2
Comprendre l’anatomie de la peau3
La peau est composée de trois couches principales, chacune ayant des fonctions physiologiques importantes :
– L’épiderme agit comme une barrière physique, régule la perte d’eau, produit de la kératine qui rend la peau imperméable et les mélanocytes assurent la synthèse de la mélanine, qui contribue à la protection contre les effets des rayons UV et donne à la peau sa couleur ;
– Le derme comprend principalement des tissus conjonctifs, dont le collagène, qui confère à la peau sa résistance à la traction, et des fibres élastiques, qui facilitent l’étirement et le recul. Le derme contient également les appendices cutanés, à savoir les glandes sébacées, les glandes sudoripares et les follicules pileux, ainsi que les nerfs cutanés, les vaisseaux sanguins et les lymphatiques ;
– L’hypoderme, la graisse sous-cutanée aide à ancrer la peau au fascia sous-jacent et contribue également à l’isolation du corps.
Les types de cellules spécifiques de chaque couche sont maintenus ensemble par une matrice complexe de molécules, la matrice extracellulaire (MEC), qui agit comme un échafaudage pour soutenir les cellules, leur donner une structure et retenir l’humidité. Les molécules importantes de la matrice extracellulaire comprennent le collagène, l’élastine et les oligosaccharides, qui aident à retenir l’eau pour assurer l’hydratation et la souplesse de la peau.4
Facteurs associés au vieillissement de la peau
Le vieillissement biologique désigne la dégénérescence progressive des tissus au fil du temps, en raison de dommages moléculaires et cellulaires. Le vieillissement de la peau est le résultat de facteurs intrinsèques et extrinsèques. Les facteurs intrinsèques sont les processus de vieillissement physiologique qui sont largement déterminés par le patrimoine génétique d’un individu 5. Le vieillissement intrinsèque tend à se traduire par un amincissement de la peau, des rides fines et une peau sèche, et se produit en raison de l’atrophie, de la diminution de l’élasticité, de la réduction de l’activité métabolique et de la diminution du renouvellement cellulaire 6. Le vieillissement extrinsèque est une accélération du vieillissement intrinsèque normal par des facteurs environnementaux tels que les rayons ultraviolets (UV), la pollution, le tabagisme et la nutrition.
Les voies intracellulaires et tissulaires impliquées dans le vieillissement intrinsèque et extrinsèque sont :
– Raccourcissement des télomères : Les extrémités des chromosomes sont coiffées de nucléotides supplémentaires, les télomères, qui ont pour fonction de protéger les chromosomes de la dégradation au cours de la division cellulaire. La réplication cellulaire entraîne inévitablement un raccourcissement des télomères. Lorsque le télomère devient trop court, la cellule cesse de se diviser. Les rayons UV peuvent endommager les télomères, ce qui entraîne une sénescence cellulaire prématurée. C’est l’un des mécanismes par lesquels le processus de vieillissement médié par les UV entraîne des modifications de l’aspect de la peau : avec le temps, le renouvellement cellulaire diminue et la peau devient plus fine ;
– Stress oxydatif : Les espèces réactives de l’oxygène (ERO) sont des molécules contenant de l’oxygène qui sont instables et réagissent avec d’autres molécules dans un phénomène décrit comme le stress oxydatif. Les ERO sont des sous-produits de nombreux processus cellulaires normaux et sont nécessaires au fonctionnement normal des cellules. Les ERO ont une série d’effets pathogènes, notamment des dommages à l’ADN et le déclenchement d’une inflammation chronique, qui entraîne la dégradation de la MEC et une réduction de l’intégrité structurelle du collagène 7. De plus, l’activation des collagénases contribue également à la lyse de la MEC. Ces effets se traduisent par l’apparition cosmétique de rides et le dépôt de molécules anormales de la MEC, caractéristiques classiques du photovieillissement ; 8
– Les hormones sexuelles diminuent avec le temps, en particulier chez les femmes ménopausées. Ce phénomène joue un rôle majeur dans le processus de vieillissement intrinsèque de la peau. Les œstrogènes jouent un rôle important dans l’hydratation de la peau et dans la production de collagène et d’autres composants de la MEC. Des niveaux réduits d’œstrogènes sont donc associés à une peau sèche, fine et ridée. Les œstrogènes ont également d’importantes propriétés anti-inflammatoires, et des taux faibles peuvent entraîner une exacerbation de toute affection cutanée inflammatoire préexistante telle que l’acné ou la rosacée. 9
Comment maintenir une peau saine ?
– Se protéger contre les UV Les dommages causés par les UV sont de loin le principal facteur du vieillissement extrinsèque. La limitation de l’exposition aux rayons UV est l’un des meilleurs moyens de protéger la peau. Des études ont montré que l’utilisation d’un écran solaire prévient les dommages à l’ADN et peut protéger contre le mélanome malin et le carcinome épidermoïde 10. Les UVA ont une longueur d’onde plus grande et entraînent le vieillissement de la peau, tandis que les UVB ont une longueur d’onde plus courte et provoquent des brûlures cutanées. Les rayons UVA et UVB peuvent tous deux endommager l’ADN. Les écrans solaires peuvent protéger à la fois contre les UVA et les UVB ;
– Éviter de fumer : C’est un facteur de risque important. Le tabagisme crée également des niveaux élevés de ERO sur la peau du visage, en particulier autour de la bouche, ce qui accélère les signes du vieillissement, en particulier les rides ; 11
– L’hydratation de la peau est régulée par la couche cornée, la couche la plus superficielle de la peau. L’hydratation est maintenue par une combinaison de molécules hygroscopiques dans les cornéocytes qui attirent l’eau dans la couche cornée et de molécules lipidiques intercellulaires qui empêchent la perte transépidermique de molécules d’eau. Une hydratation inadéquate entraîne une altération de la desquamation et donc une peau sèche et floconneuse 12. Une étude visant à déterminer si une augmentation des liquides alimentaires affecte l’hydratation de la peau a montré qu’une consommation accrue d’eau était associée à une augmentation de l’hydratation des couches profondes de la peau et à une réduction de l’apparence de la peau sèche, en particulier chez les personnes ayant déjà réduit leur consommation d’eau ; 13
– Le sommeil : Les niveaux de cortisol sont également réduits la nuit : l’excès d’hormones de stress peut avoir des effets néfastes sur la peau, en augmentant sa sensibilité, en aggravant toute condition inflammatoire préexistante telle que l’eczéma et en provoquant la dégradation du collagène et d’autres molécules ECM. Pendant le sommeil, la peau rééquilibre son hydratation. Cela a pour effet de réduire l’apparence des poches sous les yeux et de réduire la sécheresse ; 14
– L’exercice physique présente de nombreux avantages pour la santé, notamment celui d’atténuer le vieillissement de la peau. L’exercice physique aide également à maintenir un poids sain, réduisant ainsi le risque de développer une obésité et un diabète sucré, deux conditions qui peuvent affecter l’intégrité et l’état de la peau ; 15
– Les antioxydants peuvent aider à réduire les effets pathogènes des ERO et peuvent donc contribuer à réduire les effets extrinsèques du vieillissement causé par le stress oxydatif. Les antioxydants comprennent les vitamines C et E, et certaines molécules présentes dans le thé vert et l’aloe vera. 16
L’effet de l’âge sur la peau 7
Le vieillissement de l’épiderme
Avec l’âge, on observe une perte substantielle de mélanocytes et de cellules de Langerhans. N’étant pas irrigué, l’épiderme se nourrit au contact du derme. L’un des principaux changements cutanés dans le vieillissement intrinsèque de la peau est une réduction de la surface de contact entre l’épiderme et le derme. Il y a une perte des corps muqueux de malpighi (extensions épithéliales qui font saillie dans le tissu conjonctif sous-jacent), ce qui affecte négativement les papilles dermiques riches en capillaires, entraînant une réduction de l’apport de nutriments, de métabolites et d’oxygène à l’épiderme. Le contact réduit entre le derme et l’épiderme entraîne également une moindre résistance aux forces de cisaillement. De plus, avec l’âge, l’épiderme s’atrophie car nous produisons moins de cellules, la production de cellules diminue jusqu’à 50 % entre 20 et 70 ans. On observe également une réduction des hormones et des signaux chimiques importants pour la croissance et la réparation de la peau, ainsi qu’une diminution des récepteurs qui les détectent ; par exemple, le nombre de récepteurs de la vitamine D dans les kératinocytes épidermiques diminue avec l’âge.
Le vieillissement du derme
Les cellules clés du derme sont :
– Les fibroblastes qui synthétisent le collagène, l’élastine et les autres molécules structurelles de la matrice ;
– Les mastocytes sont des cellules immunitaires qui produisent de l’histamine.
Avec l’âge, on observe une perte de volume du derme et une diminution de l’épaisseur du derme d’environ 20 %. Le nombre de mastocytes diminue de 50 % et le flux sanguin de 60 %.
Le vieillissement de la peau est également associé à une diminution de la perfusion cutanée et à une réduction de la vascularisation, principalement dans la partie superficielle (papillaire) du derme. On observe une réduction drastique du nombre de vaisseaux sanguins dermiques, accompagnée d’un raccourcissement des boucles capillaires dans les papilles dermiques. Il en résulte une pâleur de la peau, une diminution des échanges de nutriments et une altération de la thermorégulation.
Le vieillissement de L’hypoderme
L’hypoderme est principalement constitué de graisse et joue un rôle d’isolant et d’amortisseur. Avec l’âge, il y a une perte de graisse sous-cutanée et la peau devient plus fine et moins résistante aux traumatismes. La réduction du volume de graisse sous-cutanée entraîne une diminution du rôle de l’hypoderme dans la limitation de la perte de chaleur par conduction. La répartition de la graisse sous-cutanée change également : elle diminue dans certaines parties du visage et des mains, mais augmente au niveau des cuisses et de l’abdomen. La réduction de la graisse sur les zones osseuses augmente le risque d’escarres et de fractures.
Le collagène17
Le collagène est un groupe de protéines naturelles. Il fait partie des protéines structurelles longues et fibreuses dont les fonctions sont différentes de celles des protéines globulaires telles que les enzymes. Il est abondant chez la plupart des invertébrés et des vertébrés. C’est la principale protéine du tissu conjonctif et elle représente environ un quart de la teneur totale en protéines chez de nombreux animaux. La molécule de collagène est formée de trois brins polypeptidiques, appelés chaînes alpha, et a une masse moléculaire d’environ 285 Kd. Chaque chaîne possède la conformation d’une hélice gauche. Ces trois hélices sont torsadées ensemble pour former une triple hélice qui est stabilisée par des liaisons hydrogène. Le collagène a une forte teneur en hydroxyproline et sa composition en acides aminés est très différente de celle d’une protéine classique. Les séquences d’acides aminés les plus courantes dans le collagène sont Gly-Pro-X et GlyX-Hyp, où X représente tout acide aminé autre que la glycine (Gly), la proline (Pro) ou l’hydroxyproline (Hyp). Jusqu’à présent, 29 types de collagène ont été identifiés et décrits, les types I, II, III et IV représentant plus de 90 % du collagène présent dans l’organisme.
– Le type I se trouve dans de nombreux tissus tels que la peau, le foie, les os, l’aorte et la cornée. C’est le type de collagène le plus abondant dans les tissus des vertébrés (environ 22 % de la protéine totale) ;
– Les types II et III sont formés de trois chaînes a du même type, respectivement a1(II)3 et a1(III)3 ;
– Le collagène de type II est à la base du cartilage articulaire et du cartilage hyalin ;
– Le type III est structurellement assez similaire au type I. Il représente 5 à 20 % du collagène total dans les tissus des mammifères tels que la peau, les os et l’aorte.
Pourquoi le collagène marin ?
Le collagène peut être extrait de divers organismes. Les sources préférentielles de collagène sont la peau et les tendons de bovins ainsi que la peau de porc. Les risques d’encéphalopathie spongiforme bovine sont la principale raison pour laquelle l’utilisation du bétail comme source de collagène a été reconsidérée. De plus, le collagène d’origine porcine est de plus en plus rejeté pour des raisons religieuses. Le collagène d’origine marine constitue une alternative. Les éponges, les méduses et les abats de poisson tels que les os, la peau, les écailles et les nageoires peuvent servir de source alternative de collagène. Les collagènes marins sont à la fois fibrillaires et non fibrillaires, ont des températures de gélification et de fusion inférieures à celles du collagène des mammifères, mais des viscosités relativement plus élevées que les formes bovines équivalentes. Le collagène de poisson est sensible à la chaleur en raison de liaisons transversales labiles par rapport aux mammifères. Les acides aminés proline et hydroxyproline sont réduits par rapport au collagène de mammifère, tandis que la sérine, la thréonine et la méthionine sont augmentées dans le collagène de poisson. De grandes quantités de glycine ont également été rapportées.
Baisse de collagène avec l’âge7
La teneur en collagène du derme diminue de 1 % par an tout au long de la vie adulte. De plus, le collagène lui-même passe de faisceaux de fibres bien organisés dans la peau jeune à des fibres fragmentées et désorganisées dans la peau âgée. Il perd également ses prolongements entrelacés avec les fibres d’élastine, qui, dans la jeunesse, permettent à la peau de reprendre sa forme après déformation.
L’activité des fibroblastes diminue avec l’âge : ces cellules se ‘ratatinent’ et ont moins de récepteurs au facteur de croissance épidermique. Il s’ensuit une baisse de la synthèse du collagène, une atrophie des faisceaux de collagène et une augmentation des niveaux de métalloprotéinases et d’enzymes qui dégradent le collagène. En conséquence, le collagène est de mauvaise qualité et la cicatrisation des plaies est entravée. À mesure que les fibres de collagène diminuent en nombre, se rompent, se réticulent et se rigidifient, leur capacité à fixer l’eau diminue et la peau perd de son élasticité et se ride. Les rides semblent être dues non pas tant à la dégénérescence des fibres d’élastine, comme on le pensait auparavant, qu’à une diminution du pouvoir de rétention d’eau du collagène et des mucopolysaccharides.
L’acide hyaluronique18
Le vieillissement de la peau est également associé à une perte d’hydratation. La principale molécule impliquée dans l’hydratation de la peau est l’hyaluronane ou l’acide hyaluronique (AH), un glycosaminoglycane (GAG) doté d’une capacité unique à lier et à retenir les molécules d’eau.
L’AH fait partie des molécules de la matrice extracellulaire (MEC). Au cours des dernières décennies, les constituants de la peau ont été bien caractérisés. Au début, la plupart des études se sont concentrées sur les cellules qui composent les couches de la peau, telles que l’épiderme, le derme et l’hypoderme. Récemment, on s’est rendu compte que les molécules de la MEC qui se trouvent entre les cellules, en plus de fournir un cadre constructif, exercent des effets majeurs sur la fonction cellulaire. Ces molécules de la MEC, bien qu’elles apparaissent amorphes au microscope optique, forment une structure hautement organisée, comprenant principalement des GAG, des protéoglycanes, des facteurs de croissance et des protéines structurelles telles que les collagènes. Cependant, le composant prédominant de la MEC de la peau est l’AH.
La fonction de barrière de la peau est en partie attribuée aux corps lamellaires, considérés comme des lysosomes modifiés contenant des enzymes hydrolytiques. Ils fusionnent avec les membranes plasmiques des kératinocytes matures et ont la capacité de s’acidifier grâce à des pompes à protons et de convertir partiellement leurs lipides polaires en lipides neutres. La diffusion de la matière aqueuse à travers l’épiderme est bloquée par ces lipides synthétisés par les kératinocytes dans le stratum granulosum. Cet effet de frontière correspond au niveau de coloration de l’AH. La zone riche en AH inférieure à cette couche peut obtenir de l’eau du derme riche en humidité, et l’eau qu’elle contient ne peut pas pénétrer au-delà du stratum granulosum riche en lipides. L’hydratation de la peau dépend essentiellement de l’eau liée à l’AH dans le derme et dans la zone vitale de l’épiderme, tandis que le maintien de l’hydratation dépend essentiellement de la couche granuleuse.
L’AH est de plus en plus utilisé comme complément alimentaire. Dans un essai japonais, la prise d’AH de deux poids moléculaires différents a amélioré l’état de la peau en augmentant la teneur en eau chez des femmes japonaises âgées de 35 à 60 ans, qui se plaignaient d’une peau sèche et flasque ou de rides autour du canthus externe (angles situés à chaque coin de l’œil). 19
La vitamine C, un renfort pour la synthèse de collagène
La vitamine C joue un rôle crucial en tant que renfort pour la synthèse de collagène dans le corps. Également connue sous le nom d’acide ascorbique, la vitamine C est un nutriment essentiel qui offre de nombreux bienfaits pour la peau. L’un de ses rôles les plus importants est sa contribution à la production et à la régulation du collagène, une protéine structurelle clé présente dans la peau. 20
La production de collagène diminue avec l’âge et sous l’influence de divers facteurs environnementaux. C’est là que la vitamine C entre en jeu. Elle est directement impliquée dans la synthèse du collagène en favorisant la formation de liaisons peptidiques entre les acides aminés, les éléments constitutifs du collagène. La vitamine C agit comme un cofacteur essentiel pour deux enzymes clés impliquées dans cette synthèse : la prolyl hydroxylase et la lysyl hydroxylase. Ces enzymes sont responsables de la modification des acides aminés présents dans les précurseurs du collagène, les rendant fonctionnels et aptes à former la structure du collagène. 21
De plus, la vitamine C joue un rôle antioxydant puissant, protégeant ainsi le collagène de l’oxydation et des dommages causés par les radicaux libres. Les radicaux libres sont des molécules instables produites lors de processus métaboliques normaux et exposées à des facteurs externes tels que les rayons UV du soleil, la pollution et le stress. Ils peuvent endommager le collagène et accélérer le processus de vieillissement cutané. La vitamine C neutralise les radicaux libres, préservant ainsi l’intégrité du collagène et contribuant à maintenir une peau saine. 21
Sources :
1- Romanovsky, A. A. (2014). Skin temperature: its role in thermoregulation. Acta physiologica, 210(3), 498-507
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